Il explique : “Injonctions contradictoires (masques ou pas masques), polémiques stériles (chloroquine ou pas, la Chine a-t-elle menti ou pas), négationnisme contre déclarations de guerre à outrance, confinement policier surveillé par hélicoptères… et on en passe… Nous rappelant au passage que, oui le virus tue, mais que les statistiques nous prouvent [aussi] qu’il laisse en vie 99,9 % de la population. […] Il n’y a donc aucune raison de paniquer ni de donner à la mort ce surcroît de victimes qu’elle ne réclame pas.”
Embarqués pour 4 nouvelles semaines de confinement, le journaliste nous rappelle que cela ne s’arrêtera sûrement pas là, “car comme dans toute crise, il y a des profiteurs, nouveaux experts autoproclamés, politiciens ravis de ne plus avoir d’opposition, géants du numérique qui prospèrent sur le télétravail et la surveillance, patrons sans scrupules qui en profitent pour dégraisser…” et nous invite à “agir vite avant qu’ils [nos dirigeants] ne s’habituent à leur pouvoir nouvellement acquis.”
Sans oublier le désastre économique, qu’il convient de stopper au plus vite “sinon le remède deviendra vite pire que le mal.”
Lire l’article :
Français : http://www.agefi.com/home/acteurs/detail/edition/online/article/la-politique-de-la-peur-ca-suffit%21-495588.html
Bonjour,
Légère précision: non pas 99,9% mais “les statistiques prouvent que le virus laisse en vie 99,95 % de la population”. Donc, 0,05% de la population en décès potentiellement attribués au covid-19, encore faudrait-il connaitre les causes de comorbidité et les décès qui sont réellement attribuables au sars cov2… 30000 environ dont 10000 minimum en Ephad, sur une durée de 2 mois environ. A remettre en situation des données décès sur l’année 2020 le moment venu. Nous sommes effectivement en plein délire. Cordialement, Alain Pons